L'histoire de l'aspiration d'Alice Marie-Thérèse Hamm à habiller la Cendrillon des temps modernes commence dans l'est de la France déchiré par la guerre en 1942.Aliceet avait des rêves inhabituellement ambitieux pour une jeune fille de 12 ans.Ch.e désirait fairetousLes femmes sont belles, alors elle a exploité son instinct d'entrepreneur en confectionnant à la main des robes élégantes pour les dames locales à partir des draperies de sa mère et en confectionnant des chemises pour les agriculteurs de sa ville.

Mais Alice se sentit bientôt frustrée par les limites de sa petite ville. En 1945, elle se consacra à l'école de design locale deSaverne, Alsace.  Alice excellait en tant qu'étudiante dans une école de design dirigée par des religieuses strictes.  Diplômée à l'âge de 19 ans, elle est immédiatement embauchée par l'école pour enseigner les techniques de couture, de modélisme et de drapage.

Inspirée par l'enthousiasme intense entourant le révolutionnaire New Look de Christian Dior (1947), Alice réalise qu'ellevraiment il fallait devenir couturière à Paris.  Ainsi, en 1952, à l'âge de 22 ans, l'ambition intrépide d'Alice la conduisit vers la Ville Lumière.À Paris,Alice a d'abord travaillé comme créatrice de costumes, puis s'est inscrite à l'École de Coupe pour cristalliser son rêve de réussir aux États-Unis, où sa propre mère avait travaillé de 1923 à 1928.

Après avoir obtenu son diplôme,École de Coupe à 25 ans, Alice, son diplôme parisien en poche, change de continent, s'installe chez sa tante à Chicago et trouve immédiatement un emploi de créatrice pour une maison de mariée locale, Carol Gowns.  Lors de son entretien avec Carol Gowns, la propriétaire a froissé le diplôme de Paris qu'Alice lui tendait fièrement et lui a dit avec un reniflement : « Je me fiche d'un bout de papier, montre-moi ce que tu peux faire ! »  Sans se laisser décourager, Alice a décidé de lui montrerexactement ce qu'elle pouvait faire.

Alice a apprécié sa nouvelle vie aux États-Unis.États et est devenue citoyenne en 1961. À cette époque, elle a changé l'orthographe de son nom en «Alice" (prononcé "AH-lease").  Au milieu des années 1960,Alice Elle s'est lancée dans un défi encore plus audacieux : ouvrir sa propre maison de couture.Alice a osé poursuivre la force de ses icônes fougueuses, les couturiers français Gabrielle « Coco » Chanel et MadameGrès (oùChez Alice meilleur ami a travaillé pendant leurs années de vie commune à Paris).

Elle a économisé tous ses revenus année après année, a rassemblé ses frères comme bailleurs de fonds et, à l'aube du mouvement de libération des femmes qui se répandait à travers les États-Unis, a fondé sa société homonyme en 1967.Chez Alice conduite audacieuse,audacieuxLa confiance et le courage passionné ont alimenté son rêve à travers les continents pour rendre les femmes belles à l'échelle mondiale.

Un an plus tard, en 1968, grâce à des relations dans le monde des concours de beauté,Alice habillait Miss Amérique, Debra Dene Barnes. Barnes, qui a été couronnée Miss Kansas plus tôt cette année-là, a rencontréAlice, connue alors sous le nom de « MademoiselleAlice», et lui a commandé des robes de concours sur mesure.   Ironiquement pourAliceLe discours historique de Barnes a été interrompu par des manifestants du mouvement de libération des femmes lors du concours de Miss America et a fait la une des journaux.

Puis en 1981, fidèle à ses aspirations courageuses,Alice a décidé d'élargir ses horizons au-delà des concours de beauté et des mariages  pour produire des robes de bal en soie perlées à la main.   Elle a recherché un agent à Singapour et s'est envolée pour l'étranger afin de visiter des usines de fabrication de perles à la main en Inde et en Chine.

Depuis tLes usines d'Asie de l'Est quiAlice visité à l'époque seulement des nappes ornées,Alice elle-même s'est assise et a montré comment embellir de longues robes de bal !Ces bals de fin d'année des années 80les robes sont devenues si populaires quenotre tissu Le fabricant Sequins International a affirmé un jour queAlice était«le plus grand consommateur de paillettes au monde", confirmé par ceciArticle de Buzzfeed (notre préféré est le n°17).

Et voilà !Chez Alice iconique Les talents et les modèles de blocs ont donné naissance à une industrie mondiale construite autour  bal de promo.Chez Alice frère, Jean-Paul Hamm, et ses nièces, Claudine Hamm et Nathalie Lambert,continue toujours àinfluencent les robes de mariée et les robes de bal modernes grâce à leur travail de renommée mondiale chez ALYCE Paris.

Plus de fcinquante ans après qu'Alice ait décidé de partir avec audace, nous continuons à :

1. Confectionnez à la main des robes de bal uniques en utilisant bon nombre des mêmes techniques de finition qu'Alice a développées au cours de ses prodigieuses années de travail et transmises à la génération suivante.
2. Vendez notre  mignon  robes de bal  à certains des mêmes magasins de robes de mariée qui étaient les premiers clients d'Alice à la fin des années 1960.
3. Habillez ceux qui osent poursuivresans finrêves.